LES APPREHENSIONS

JE DEPENDS D’EUX

FREDERIC LENOIR : « Être libre, c’est aussi ne pas agir en fonction du regard d’autrui. »

Aujourd’hui, lorsque je causais avec un de mes camarades, il ma demandé mince MARC AUREL je ne comprends pas Pourquoi j’aime gérer les appréhensions des gens ?

Le connaissant déjà, je lui ai répondu qu’il dépend de son entourage. En clair, lorsqu’ il fait quelque chose, il veut toujours savoir ce qu’on pense de lui et lorsqu’ on pense mal de lui il déprime et commence à devenir agressif comme un chef bandit prêt à tuer sa prochaine victime. Je lui ai dit que c’est bien de souvent demander aux gens ce qu’ils pensent de nous, mais c’est mauvais d’en faire trop. Peut-être que toi qui lis cet article tu es dans la même situation que lui mais ne t’en fais pas je vais te donner quelques solutions pour pouvoir pallier à ce problème.

JEAN JACQUES ROUSSEAU déclare : « L’homme nait bon par nature, c’est la société qui le corrompt ».

Pour lui, la société fait de toi son esclave dans le sens où tu n’apparais pas comme toi tu aimerais apparaitre, mais tu apparais comme la société voudrais que tu apparaisses. Voilà, cette citation te parle ou bien tu maitrises ? Ici, il faut que vous sachiez que la société est faite de telle sorte que tout le monde ne peut pas vous aimer dans la vie. Donc ça ne sert à rien de faire quelque chose qu’on aime pas parce qu’on veut que les gens aient une bonne image de nous et pour qu’on se moquent pas de nous. Ça ne sert à rien de voler de l’argent pour draguer une fille, pour épater son entourage juste parce qu’on veut montrer qu’on a de l’argent NON !

Depuis plusieurs années déjà, beaucoup de jeunes et certains adultes font des dépressions à cause de l’effet de masse, certains se suicident même, parce qu’ils ne supportent pas qu’on parle mal d’eux, parce qu’il ne supporte pas qu’une autre personne soit meilleur qu’eux. Et lorsque je vois ça j’ai mal parce que la plupart d’entre nous est déjà passé par là.

*Les solutions :

- La comparaison : La vie n’est pas la course, la recherche du statut social nous pousse généralement sans cesse à comparer notre position avec nos semblables. Il ne faut jamais oublier que nous sommes des créatures sociales. La recherche du statut social est un phénomène universel auquel nous sommes tous confrontés : on se soucie énormément de ce que les autres pensent de nous et nous dépensons beaucoup d’énergie à comparer notre statut à celui des autres membres du groupe. Sachez que vous avez une singularité à exprimer. A chaque fois que vous êtes tentés de vous comparer à une connaissance, a un collègue, a un camarade de classe ou à une célébrité, rappelez-vous que vous êtes totalement différents dans vos objectifs de vie.

- L’authenticité : Reste comme tu es. Savais-tu que l’authenticité est un outil d’aide de décision ? Savais-tu qu’elle permet en effet d’apporter des réponses justes autant à nous-mêmes qu’à nos interlocuteurs ? Sache que quoi qu’on dise toi, tu es avant tout une personne exceptionnelle et extraordinaire. En étant authentique, tu te donnes la valeur, tu incarnes la sincérité, la digne foi.

- La conscience : IL faut que tu saches, que seul toi sais ce qui est bien pour toi et ce qui n’est pas bien pour toi car tu as ce qu’on appelle la conscience. Ici, la conscience te permet de répondre de ce que tu es.de plus, elle est un synonyme de dignité. Utilise la pour t’aider à travailler sur toi-même. Saches qu’elle est ton premier ami dans la vie car on peut te corrompre mais ta conscience on ne peut pas la corrompre car elle est ton juge et c est la seule chose dont on ne peut pas t’enlever.

- Dire non : Ah oui, dire non ne signifie pas être avare. Dire non est très important dans certaines situations de la vie ; il te permet de te protéger et de ne pas te laisser entrainer dans le piège de la manipulation. C’est se respecter et respecter les autres : les choses sont claires et sans équivoque, chacun sait où s’arrêtent les limites et reste à sa place. Dire non n’a jamais tuer une personne, donc réfléchir avant de toujours tout accepter sinon tu vas te retrouver sur la route de si j’avais sur.

L’homme est-il condamné aux appréhensions d’autrui ?

DIEU nous préserve